tunisie:Document économique : Le prêt du Big Lie Fund

Pendant de nombreuses années, nous avons vécu convaincus de l'idée que sans un prêt du FMI, le budget de l'État ne survivrait pas, mais entre l'idée et la réalité, nous avons découvert qu'il y avait un gros mensonge... étant donné les indicateurs économiques positifs qui confirment que l'échec de la collecte de cet argent Le prêt n'a pas eu d'effet négatif sur les équilibres financiers de l'État.

C'est ce que le gouvernement a traduit dans le nouveau projet de loi de finances alors que l'hypothèse du prêt du Fonds, qui figurait depuis des années parmi les hypothèses sur lesquelles reposaient les projets de loi de finances précédents, était absente, après avoir réussi, au cours de la seule année écoulée, à garantir la totalité des ses dépenses, y compris les salaires, les dépenses de soutien et l'aide financière, et de payer plus de 80 pour cent de ses obligations financières sans ce prêt...

Cela confirme que l'État peut vivre hors du couvert du Fonds, se débarrasser de sa dépendance financière et compter sur lui-même, traduction du slogan du chef de l'État qu'il adopte et insiste dans sa motivation pour toutes les forces nationales, en attendant le succès ou non de cela dans les prochains jours..

Cependant, ce slogan reste relatif dans les circonstances actuelles car il nécessite de mener effectivement et dans les plus brefs délais la mise en œuvre des réformes précédemment mises en place par le gouvernement, qui portent sur le système de soutien, le bloc salarial, la réforme du statut des institutions publiques. , et d'autres réformes nécessaires, mais avec le même esprit réformiste tunisien, avec des sacrifices qui convainquent les Tunisiens, sans les imposer par la force, et loin des diktats des donateurs extérieurs.